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Expertises champs électromagnétiques très basses fréquences

Les champs magnétiques émis par les appareils fonctionnant à l’électricité émettent un champ magnétique classé cancérigène quand ils sont en fonctionnement. Ce champ sera d’autant plus grand que la puissance de l’appareil sera importante. Ils ont la capacité de traverser entièrement le corps humain, qui est lui-même composé de cellules fonctionnant et vibrant par un propre champ électrique. Un champ électromagnétique extérieur et artificiel induira un effet sur le fonctionnement cellulaire et cet effet sera amplifié par la dose d’exposition sur la durée de temps.

Éléments concernés :

Lignes électriques très haute tension, haute tension (20.000 volts) et basse tension(220-380 volts). Transformateur de courant, lieux sensibles (tête de lit des chambres - valeur >3 mG/ 8 heures classé cancérogène, sites industriels, sites sensibles.

Unité de détection professionnelle:

Matériel de détection professionnel utilisé :

  • Sonde type isotropic, RMS.
  • Mesure simultanée des champs électriques et magnétiques . Mesure en pourcentage avec conversion logiciel. Mesure additionnelle sur valeur recommandée au sein de l’habitat.                                        
  • Fréquences balayées : 10 Hz à 3 KHz. Le SMP montre le champ deux fois par seconde et fait une moyenne sur 10 secondes.

                        

 

Les mesures concernant les champs électromagnétiques très basses fréquences ELF et VLF s’effectuent selon un protocole en fonction des situations, que l’on soit en milieu industriel ou résidentiel. Les mesures sont effectuées pour les champs électriques en Volt/mètre et pour les champs magnétiques en micro ou milli-Tesla.
Plusieurs organisations nationales et internationales ont publié des directives et des recommandations fixant des limites à l’exposition aux champs électromagnétiques dans l’environnement résidentiel ou professionnel. (classé cancérigène 2B). Au sein de l’habitat, les doses d’exposition seront contrôlées surtout au niveau des têtes de lit.
L’ICNIRP - Commission internationale pour la protection contre les rayonnements non ionisants- officiellement reconnue par l’OMS, a fixé des limites d’exposition aux champs électromagnétiques. Ces limites ont été élaborées sur la base d’analyses portant sur tous les articles publiées dans les revues scientifiques avec comité de lecture, notamment ceux consacrés aux effets thermiques et non thermiques.

Risques sanitaires

Eléments concernés très basses fréquences : Lignes électriques très haute tension, haute tension (20.000 volts) et basse tension(220-380 volts). Transformateur de courant, lieux sensibles (tête de lit des chambres ), sites industriels, sites sensibles.Les champs électromagnétiques basses fréquences : pénétration du corps humain

A l’instar des champs de très hautes fréquences SHF, les champs de très basses fréquences ELF ont un pouvoir de pénétration totale du corps humain en ce qui concerne le champ magnétique. C’est pourquoi ils sont classés cancérigènes possibles. Le champ électrique, autre composante des champs de très basses fréquences ne pénètre pas le corps humain.
Plusieurs études ont eu lieu concernant l’effet des champs électromagnétiques basses fréquences sur la santé, notamment après la publication en 1979 d’une étude épidémiologique qui a fait date (Wertheimer et Leeper, 1979).
Cette étude mettait en rapport les cancers développés par des enfants dans certaines habitations du Colorado (États-Unis) avec la présence de réseaux électriques dans leur environnement. D’autres études ont eu lieu :
Afsset ••• RAPPORT « Champs électromagnétiques extrêmement basses fréquences » Saisine n° 2008/006

Les CEM extrêmement basse fréquence (induits par les lignes électriques de transports, transformateurs électriques, voies ferrées, lampes, appareils ménagers, ordinateurs, etc.) ont été classés cancérogènes possibles pour l’homme par le CIRC (groupe 2B).

Les études montrent un lien statistiquement significatif entre les leucémies infantiles et une exposition résidentielle à des champs magnétiques supérieurs à 0,2 à 0,4 µT. Aucun effet biologique ne permet cependant à ce jour d’expliquer ce lien.

L’autre composante du courant : le champ électrique très basses fréquences exprimé en volt/mètre n’est pas pénétrant. Par contre, il peut avoir une incidence par effet de polarité sur le champ électrique du corps humain.

Les champs magnétiques quant à eux ont la capacité de traverser entièrement le corps humain, qui est lui-même composé de cellules fonctionnant et vibrant par un propre champ électrique. Tout laisse à penser qu’un champ électromagnétique extérieur et artificiel induira un effet sur le fonctionnement cellulaire et que cet effet sera amplifié par la dose d’exposition sur la durée de temps. Connaître sur le long terme les effets des champs induits sur la cellule n’est pas simple. Personne aujourd’hui ne peut affirmer que certaines pathologies n’ont aucun lien avec les facteurs environnementaux des champs électromagnétiques.

Le corps humain n’a aucune possibilité de s’adapter aux sources agissantes de champs électromagnétiques artificiels.

Effets directs des champs statiques, électriques ou magnétiques

Les champs électriques : fatigue - polarité du corps humain

Les champs magnétiques peuvent être à l’origine :

  • D’une modification de l’électrocardiogramme (ECG), de malaises (nausées, vertiges,   goût métallique, perception de taches lumineuses pour une exposition supérieure à 2 tesla).
  • Risque de pathologie cellulaire (classification cancérigène 2B). Les risques sont vraiment à prendre en considération, surtout dans les endroits où le corps est exposé sur de grandes durées de temps ( chambre tête de lit, radiateurs électriques, travail, habitat dans l'environnement d'un transformateur EDF non blindé, habitat sous des lignes de hautes et très hautes tension...)

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